Oublier le vacarme,
qui nos forces désarme -
Fondre dans la moelle de la fleur, sécher la larme
Il y a des mots que le vent te souffle, des phrases subtiles, des résonances multiples qui te viennent d’avant pour construire ton maintenant. Il y a des mots qui te passent par la peau lorsque tu caresses une feuille. Il y a ce chant que murmure la terre, ce chant universel qui relie à l’infini… Edith
© Edith Gayot-Boudier
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je me noies dans ton bleu qui fait bien défaut aujourd'hui dans le ciel !
RépondreSupprimerOh que oui... ainsi je l'ai cherché un peu partout pour y plonger...
SupprimerDe quoi être surpris
RépondreSupprimerQuand de ce muscaris
Tu le fais apparaître attendris
Devant nous tous ahuris.
Merci pour ce gentil poème mon ami... les mots musicaux enchantent l'air...
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