L'espace d'un lourd printemps...
Et voici déjà l'été
Quelques brièvetés printanières, offrandes à l'été :
Il y a des mots que le vent te souffle, des phrases subtiles, des résonances multiples qui te viennent d’avant pour construire ton maintenant. Il y a des mots qui te passent par la peau lorsque tu caresses une feuille. Il y a ce chant que murmure la terre, ce chant universel qui relie à l’infini… Edith
© Edith Gayot-Boudier
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j'adore le printemps et la renaissance de la nature :)
RépondreSupprimerton printemps est tellement joli que tes images en deviennent émouvantes
RépondreSupprimerde beauté et de tendresse ! tu photographies avec le coeur, ça se voit...
je viens de faire le plein de couleurs, de douceurs, de parfums !
je pense que les visiteurs à ton expo ont apprécié ta sensibilité et ton talent !
je te souhaite un bel été Edith
Merci Marty... j'aimerais tellement, en toute modestie, pouvoir faire ressentir l'émotion dont tu parles au plus grand nombre ; la nature a besoin d'être aimée... Bel été à toi.
SupprimerLes couleurs ruissellent
RépondreSupprimerdu printemps vers l'été
nous emportant avec elles
dans le plus beau des voyages
Content de te retrouver Edith
Amitié
Plaisir partagé Pascal... Tes mots sont comme un bateau, qui toujours, nous mène vers les rivages les plus en lumière...
SupprimerSur notre prairie fleurie nous ne voyons que très peu d'abeilles nous voyons maintenant quelques gros bourdons et quelques grosses mouches bleues noires. C'est la première années que nous voyons si peu d'abeilles et pourtant la chaleur et les fleurs sont là...
SupprimerEn effet, j'ai fait la même observation. En début de printemps, les abeilles à miel étaient très présentes... mais depuis, je n'en observe que trop peu. Beaucoup d'abeilles sauvages en revanche. La différence fondamentale est la distance parcourue pour atteindre le nectar des unes et des autres. Les abeilles sauvages sont basées localement, comme les bourdons... alors que les abeilles à miel font de nombreux kilomètres entre leur nid ou ruche jusqu'au paradis des fleurs... donc plus vulnérables, entre autre, aux pesticides. Ici, je peux affirmer que cela a été flagrant ; dès les premières vagues de produits chimiques balancés dans les champs, les abeilles ne sont devenues que des souvenirs... Ce qui me fait mal, est que ce fléau n'est pas sur le point de s'arrêter...
SupprimerOui j'ai observé aussi quelques abeilles sauvages qui ont fait leur nids dans un grand pots de fleur dans le quel est planté un olivier.
SupprimerElles sont belles :))
SupprimerToujours de très belles photos Edith. Bon dimanche
RépondreSupprimerMerci Anny... :)) Belle semaine à toi.
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