Jeté de tissu soyeux
Toucher de rouge camaïeu
L’amaryllis s’ouvre à nos yeux
Il y a des mots que le vent te souffle, des phrases subtiles, des résonances multiples qui te viennent d’avant pour construire ton maintenant. Il y a des mots qui te passent par la peau lorsque tu caresses une feuille. Il y a ce chant que murmure la terre, ce chant universel qui relie à l’infini… Edith
© Edith Gayot-Boudier
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comme un long baiser rouge...
RépondreSupprimerOui Marty... :) des lèvres qui se tendent...
SupprimerOn se demande quel est ce monde , .. et s' il est bien réel !!! .. le pouvoir de la macro Bravo !!!
RépondreSupprimerPeut être ne l'est-il pas justement et qu'il appartient au rêve de chacun... Merci Gérard !
Supprimeron dirait une danseuse de flamenco
RépondreSupprimerOui tout à fait ;-)
SupprimerBeauté de l'amaryllis
RépondreSupprimerlorsqu'elle voit rouge
Merci de ton passage Pascal :))
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